Bonsoir,
Ma perruche calopsitte mâle s'est échappée voila maintenant 16 jours.
Je m'interroge sur les capacités de survie de ces oiseaux seuls dans la nature.
Sont-ils irrémédiablement condamnés à mourir rapidement ou ont-ils un instinct de survie qui peut les aider à affronter les dangers de la vie dans la nature ?
Sont-ils notamment capables de trouver leur nourriture et de s'hydrater seuls (surtout en ces temps de forte chaleur et de sécheresse) ? Est-ce que ce sont des oiseaux réputés débrouillards ou pas du tout ?
Je suis très inquiet pour ma perruche, la dernière fois que je l'ai vu elle était perchée dans les arbres et semblait incapable d'en descendre, d'où mon interrogation sur sa capacité à s'alimenter et à s'hydrater.
Capacité de survie d'une perruche calopsitte dans la nature
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Jean FRANCOIS
- Modérateur
- Messages : 20729
- Inscription : 07 oct. 2012, 17:51
Re: Capacité de survie d'une perruche calopsitte dans la nature
Bonjour,
il est très difficile de répondre à vos questions.
Des callopsittes en liberté sont signalées de temps à autre. On peut donc penser qu'elles survivent, au moins un certain temps car un plumage comme le leur doit attirer le regard des prédateurs ailés comme l'épervier ou l'autour des palombes.
Le facteur individuel doit aussi entrer en ligne de compte et il doit y en avoir de plus débrouillardes que d'autres. Je pense que les plus futées doivent prendre exemple sur les tourterelles turques et les moineaux pour trouver les sources de nourriture mise à disposition par l'homme. Dans ce cas, l'hiver ne leur fait pas peur dans la mesure où elles ont à manger. Il y a donc de l'espoir pour votre perruche. Espérons cependant qu'elle ne trouvera pas une copine pour faire des petits. Il y a déjà bien assez d'exotiques en liberté chez nous. Inutile d'en rajouter.
Amicalement.
JF
il est très difficile de répondre à vos questions.
Des callopsittes en liberté sont signalées de temps à autre. On peut donc penser qu'elles survivent, au moins un certain temps car un plumage comme le leur doit attirer le regard des prédateurs ailés comme l'épervier ou l'autour des palombes.
Le facteur individuel doit aussi entrer en ligne de compte et il doit y en avoir de plus débrouillardes que d'autres. Je pense que les plus futées doivent prendre exemple sur les tourterelles turques et les moineaux pour trouver les sources de nourriture mise à disposition par l'homme. Dans ce cas, l'hiver ne leur fait pas peur dans la mesure où elles ont à manger. Il y a donc de l'espoir pour votre perruche. Espérons cependant qu'elle ne trouvera pas une copine pour faire des petits. Il y a déjà bien assez d'exotiques en liberté chez nous. Inutile d'en rajouter.
Amicalement.
JF